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ComicsDiscovery , le podcast qui vous fait découvrir le monde des comics

James & Faye

Toutes les semaines l'équipe de ComicsDiscovery commente les dernières news comics et vous fait découvrir un titre. De Dc à Marvel en passant par les indépendants, le podcast permet aux débutants et aux passionnés d'échanger et de faire des découvertes.


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Sentry [ComicsDiscovery S09E29]

ComicsDiscoverySentry : le héros oublié de l’univers Marvel

🎙 Cette semaine dans ComicsDiscovery, à l’occasion de la sortie du film Thunderbolts dans le Marvel Cinematic Universe, nous vous parlons d’un personnage qui devrait faire ses débuts sur grand écran : Sentry, le « gardien doré de la justice ». Pour l’occasion, on revient sur la mini-série fondatrice signée Paul Jenkins et Jae Lee, désormais rééditée en Must-Have chez Panini Comics France.

🦸‍♂️ Sentry de Paul Jenkins et Jae Lee : le super-héros que l’univers Marvel a oublié

Et si vous aviez été le plus grand héros de l’univers… mais que personne ne s’en souvenait ? C’est le destin tragique de Robert Reynolds, un homme tourmenté par des souvenirs fragmentés d’un possible passé dans lequel il serait Sentry, un super-héros aussi puissant que solitaire. Le retour du Void, son ennemi juré, réveille les ténèbres… et oblige Robert à recontacter les plus grands héros Marvel pour raviver leur mémoire et, peut-être, sauver le monde. Ou du moins, c’est ce qu’il croit.

🧠 Un récit Marvel Knights entre réalité et fiction

Créée à la fin des années 1990 sous la bannière Marvel Knights, la série Sentry s’inscrit dans une démarche plus adulte et introspective initiée par Joe Quesada et Jimmy Palmiotti, inspirée du ton mature des comics Vertigo. À l’instar de Daredevil, Punisher ou Blade, Sentry se positionne à la frontière de la continuité Marvel, jouant avec les codes du genre super-héroïque pour mieux les déconstruire.

Paul Jenkins, scénariste britannique reconnu pour ses travaux sur Hellblazer, Inhumans ou The Sentry, y injecte une profondeur psychologique rare pour l'époque chez Marvel. Il explore les thèmes de l'identité, de la mémoire, de l’addiction et du trauma. À ses côtés, Jae Lee, dessinateur à l’esthétique unique, compose des planches sombres, élégantes et stylisées, où chaque case évoque une tension dramatique palpable. Son style expressionniste — déjà remarqué sur The Inhumans ou The Dark Tower — s’adapte brillamment à chaque ambiance, allant jusqu’à évoquer le trait de Jack Kirby dans les séquences où Sentry aurait interagi avec les Fantastic Four.

🔍 Une mini-série méta et innovante

Sentry ne se contente pas de raconter une origin story ; elle interroge la manière dont les récits super-héroïques façonnent la mémoire collective. Jenkins et Lee proposent un jeu narratif vertigineux où les fausses couvertures, les flashbacks inventés et les pastiches de comics rétro créent une illusion presque parfaite. Cette approche inédite pour l’époque annonce des œuvres modernes qui, elles aussi, oseront plonger dans la psyché de leurs personnages.

Sans cette série, il est probable que des titres comme The Vision de Tom King ou Moon Knight version Jeff Lemire n’auraient jamais vu le jour sous cette forme introspective.

❓ Canon ou pas canon ?

Initialement imaginée comme un Elseworlds à la sauce Marvel, Sentry ne devait pas impacter la continuité officielle. Pourtant, le succès critique pousse Marvel à l’intégrer au canon. On retrouve ainsi le personnage dans New Avengers ou encore les Dark Avengers de Norman Osborn, où il joue davantage un rôle de Superman torturé que de héros oublié.

Mais soyons honnêtes : peu d’auteurs ont su exploiter la richesse psychologique du concept original. C’est pourquoi on vous recommande chaudement de découvrir la mini-série de Paul Jenkins et Jae Lee, véritable bijou narratif, mais pas forcément ses suites.

Comme on dit souvent : il n’y a pas de mauvais personnages, seulement de mauvais scénaristes.

🎧 Épisodes recommandés de ComicsDiscovery

Envie de découvrir d’autres comics de super-héros à tonalité plus adulte et psychologique ? Ces épisodes du podcast ComicsDiscovery devraient vous plaire :

📚 Et pour retrouver toutes les publications Marvel en VF, direction Panini Comics France

Le mot de la fin

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The Nice House By The Sea [ComicsDiscovery S09E28]

Cette semaine dans ComicsDiscovery, votre podcast consacré aux comics, à la bande dessinée et à la pop culture, nous explorons The Nice House By The Sea, la suite tant attendue de The Nice House On The Lake. James Tynion IV et Álvaro Martínez Bueno poursuivent leur saga horrifique et psychologique avec un nouveau cycle toujours publié chez Urban Comics. En bonus, nous avons eu le plaisir de recevoir Richard du French Geek Movement, qui est venu nous parler de leur événement pop culture : le Multivers City Festival !

Notre invité : Richard du French Geek Movement

Dans cet épisode du podcast, nous accueillons Richard, président de l'association French Geek Movement, qui œuvre depuis plusieurs années pour rassembler les passionnés de pop culture, de comics, de cinéma, de jeux vidéo et de bande dessinée à travers divers événements et actions caritatives. Richard nous a présenté leur nouveau projet ambitieux : le Multivers City Festival, un festival de pop culture qui se tiendra les 3 et 4 mai à Aix-en-Provence. Au programme : invités spéciaux, animations, expositions, stands, et bien d'autres surprises pour tous les amoureux de culture geek ! 👉 Découvrez toutes les infos sur leur site : Multivers City Festival

Un week-end de rêve... qui tourne au cauchemar

Imaginez : votre meilleur ami d'enfance vous invite dans une somptueuse maison de vacances près d’un lac, avec vos dix amis les plus proches. Cela pourrait ressembler au début d’un week-end idyllique… Mais en réalité, vous découvrez rapidement que vous êtes les derniers survivants d'une apocalypse ayant anéanti l’humanité. C’est sur cette base que repose The Nice House On The Lake et que se poursuit The Nice House By The Sea.

⚠️ Attention, spoilers sur le premier cycle à partir d'ici !

Depuis la fin dramatique du deuxième tome, nos survivants tentent de s’adapter à l'absence de Walter et de surmonter la perte tragique de l’un d’entre eux. Mais la grande nouveauté de The Nice House By The Sea est révélée dès les premières pages : il existe un deuxième groupe de survivants, hébergé dans une maison différente, avec des règles différentes. Si Walter avait choisi un groupe d'amis pour affronter la fin du monde, Sam – une autre entité extraterrestre – a préféré sélectionner des experts dans leurs domaines respectifs, en leur dévoilant d'entrée de jeu la réalité de la situation. Cependant, James Tynion IV ne se contente pas d'une narration linéaire. Des liens mystérieux unissent les deux groupes, notamment à travers Oliver, une ancienne connaissance de Walter, qui a préféré suivre Sam. Comme dans la série Lost, chaque réponse soulève de nouvelles énigmes, enrichissant encore l'intrigue.

Une bande dessinée de science-fiction psychologique magistralement réalisée

James Tynion IV démontre une fois de plus son incroyable talent pour capturer la complexité de la psychologie humaine. Ses personnages sont profonds, nuancés, et chacun suit une évolution personnelle marquée. De son côté, Álvaro Martínez Bueno impressionne par son dessin expressif et immersif. Il réussit à varier les décors tout en intégrant par moments une touche de body horror saisissante. La colorisation de Jordie Bellaire sublime encore davantage les planches, apportant une atmosphère oppressante et magnifique. Son travail mérite d’être salué, tant il enrichit l’expérience de lecture. The Nice House By The Sea s'impose comme une suite brillante, renouvelant l'intrigue tout en conservant la tension psychologique qui avait fait le succès du premier cycle. Un véritable coup de cœur que nous ne pouvons que vous recommander !

À écouter aussi sur notre podcast ComicsDiscovery

Si vous avez aimé The Nice House By The Sea, découvrez d’autres épisodes de ComicsDiscovery consacrés aux comics de James Tynion IV et à la bande dessinée indépendante : 🎧 Something Is Killing the Children 🎧 The Department of Truth 🎧 Spectregraph
Et retrouvez toutes les nouveautés d’Urban Comics sur leur site officiel : Urban Comics.

Le mot de la fin

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Batman & Robin [ComicsDiscovery S09E27]

Pour fêter l’arrivée de la série Batman & Robin de Peter Tomasi et Patrick Gleason dans la collection Urban Nomad à petit prix, James saisit enfin l’occasion de parler de sa BD préférée. Cette émission de ComicsDiscovery est un peu particulière, car elle a été enregistrée en présentiel avec Sophie, qui nous a fait le plaisir de venir jusqu’à Montpellier. Un vrai moment de partage autour d’un pilier de la bande dessinée américaine.

La tradition des sidekicks chez DC Comics

Le concept du sidekick, ce jeune héros qui accompagne un justicier plus expérimenté, est profondément ancré dans l’ADN de DC Comics. Chaque icône de l’éditeur possède sa propre “famille” de héros secondaires. Chez Batman, l’un des membres les plus importants est Robin, un rôle occupé par plusieurs personnages marquants. James retrace l’évolution de ces jeunes justiciers : de Dick Grayson, le tout premier Robin apparu dans Detective Comics #48 en 1940, jusqu’à Damian Wayne, le fils biologique du Chevalier Noir. Petite anecdote : “Robin”, au passage, c’est aussi le nom d’un rouge-gorge… sympa comme clin d’œil, non ?

Un Dynamic Duo explosif

Place au cœur du sujet avec Batman & Robin, ce que James considère comme la meilleure série des New 52 ! Pour rappel, les New 52 représentent un relaunch complet de l’univers DC, proposant de nouvelles continuités et des premiers numéros flambant neufs. Dans cette itération, Bruce Wayne reprend le rôle de Batman, succédant à Dick Grayson, qui avait porté le costume tout en s’occupant de Damian. Désormais, Bruce doit composer avec son rôle de père, lui qui n’a jamais vraiment eu de modèle parental – à part Alfred Pennyworth, bien sûr. Et avec Damian, ado rebelle et redoutablement efficace, la cohabitation promet d’être tendue. Leur relation déjà complexe se retrouve encore plus éprouvée par le retour d’un ennemi issu du passé de Bruce, venu raviver de vieilles blessures.

Une histoire de communication

Peter Tomasi excelle dans l’écriture de cette relation père-fils, qu’il fait évoluer avec justesse et sensibilité. Au fil des tomes, Bruce et Damian apprennent à se comprendre et se tolérer, puis à s’aimer, malgré leurs différences. C’est ce lien émotionnel complexe et fort qui donne à la série toute sa profondeur. Si, comme James, vous êtes sensibles aux dynamiques familiales compliquées (coucou les Daddy Issues), cette série va vous parler ! Visuellement, Patrick Gleason sublime le récit grâce à son trait reconnaissable, dynamique et expressif, mêlant efficacement esthétique mainstream et personnalité graphique.

Une porte d’entrée parfaite vers l’univers Batman

Accessible, intense, bien écrite et magnifiquement dessinée, Batman & Robin est une lecture indispensable pour tout fan de comics, de Batman, ou plus largement de pop culture. Grâce à la réédition dans la collection Urban Nomad à seulement 10 €, il n’y a plus aucune excuse pour passer à côté de cette pépite signée DC Comics. Un duo légendaire, une écriture brillante et une tension émotionnelle constante : tout ce qu’on aime dans la bande dessinée américaine.

Si vous voulez découvrir d'autres récits forts dans l'univers de DC chez Urban Comics, nous vous conseillons ces épisodes de ComicsDiscovery :

Pour découvrir plus de publications de DC Comics, visitez leur site officiel : Urban Comics

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X-men Dieu crée, l'homme détruit [ComicsDiscovery S09E26]

On se retrouve pour découvrir ensemble un nouveau comics, dans ComicsDiscovery. Que vous soyez fan de X Men ou que vous soyez désireux d'en apprendre plus sur la saga imaginée par Stan Lee, cet épisode est fait pour vous.

À l'occasion de sa ressortie en édition Best of chez Panini, nous lisons Dieu crée, l'homme détruit de Brent Anderson et Chris Claremont.

Un peu de contexte

Avant d'entrer dans le comics, Spades, grand amateur de mutant, vous propose de remettre en contexte l'œuvre, car celui-ci est très important pour prendre conscience de l'impact du comics au moment de sa sortie en 1982.

Les mutants sous l’ere Claremont

En août 1969, Marvel se retrouve avec une série qui ne fait plus vraiment recette depuis sa création par Stan Lee et Jack Kirby — comme pas mal d'autres titres de l’époque, d’ailleurs. Cette série, c’est Uncanny X-Men. Pendant des années, elle végète, recyclant d’anciens épisodes et peinant à trouver son public. Mais en 1975, Marvel tente un coup de poker : relancer le titre avec une nouvelle équipe venue des quatre coins du globe, introduite dans le fameux Giant-Size X-Men #1.
C’est là qu’entre en scène Chris Claremont. À partir de 1976, il prend les rênes du titre et va littéralement le métamorphoser. Il injecte des intrigues plus longues, des thématiques sociales puissantes, des personnages complexes et tourmentés — et surtout, une narration feuilletonnante qui capte les lecteurs sur le long terme.
De 1976 à 1991, Claremont transforme Uncanny X-Men en l’une des séries phares, voire la série phare, de Marvel. Il y a clairement un avant et un après Claremont. Sans lui, les X-Men ne seraient probablement jamais devenus les icônes pop qu’ils sont aujourd’hui, et l’industrie n’aurait peut-être pas connu ce virage narratif plus adulte qu’il a contribué à initier.

Dieu crée et l'homme détruit

Alors qu’un groupe nommé les Purificateurs traque les mutants et les lynche purement et simplement — une référence directe à Emmett Till, ce jeune Afro-Américain assassiné en 1955, dont le meurtre a été l’un des déclencheurs majeurs du mouvement pour les droits civiques aux États-Unis —, un télévangéliste fanatique, William Stryker, utilise sa tribune médiatique pour attiser la haine des mutants au nom de la foi. Face à cette vague d’intolérance, les X-Men n’ont d’autre choix que de s’allier avec leur plus vieil adversaire : Magneto.

C’est à travers ce récit, Dieu crée, l’homme détruit, que Chris Claremont grave dans l’ADN des X-Men une thématique qui ne les quittera plus : celle de la lutte contre la haine, l’intolérance et les discriminations systémiques. Bien sûr, ces idées étaient déjà présentes dans la série depuis ses débuts — la coexistence pacifique prônée par Professor Xavier face au radicalisme de Magneto en portait les prémices — mais jamais elles n’avaient été abordées avec autant de clarté, de gravité et de réalisme.
Avec l’appui de Brent Anderson au dessin, Claremont utilise pour la première fois les X-Men pour parler directement, sans métaphore ni détour, à son lectorat des violences raciales, de la peur de l’autre et des dérives religieuses. Ce n’est plus simplement un comic sur des super-héros, c’est un manifeste. Un appel à la vigilance, à la solidarité, à l’empathie.

Et si certains éléments d’écriture peuvent aujourd’hui paraître datés — narration dense, dialogues parfois théâtraux —, cela n’ôte rien à la puissance du propos. Le message, lui, reste brûlant d’actualité. C’est ce récit qui fait des X-Men les porte-voix d’une génération, et leur donne leur place à part dans l’univers Marvel.

Qu'avez-vous pensé de ce récit ? si vous ne l'avez pas encore lu, nous vous invitons à le découvrir sans attendre !

 

Le mot de la fin

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30 jours de nuit [ComicsDiscovery S9E25]

Bienvenue pour un nouvel épisode de ComicsDiscovery. On sort nos plus belles dents de Vampire pour discuter de 30 jours de Nuit de Steve Niles et Ben Templesmith que vous pouvez retrouver aux éditions Delcourt.

30 jours de Nuit

Dans les années 90, Steve Niles regarde à la TV un documentaire concernant des villes qui ne voient pas le soleil pendant une longue période. Immédiatement lui vient à l'esprit une horde de vampires qui fondrait sur la ville. C'est ainsi que débute, la création de l'univers qui fera connaître du grand public l'auteur.

Le titre n'était au départ pas prévu pour être un comics mais un film, pourtant au début des années 2000, il a l'opportunité de transformer son histoire en bande dessinée avec l'aide de Ben Templesmith au dessin.

Une infection vampirique

30 jours de Nuit, permet au lecteur de suivre la petite ville de Barrow en Alaska qui se prépare à vivre une nuit durant 30 jours. Le Shérif et sa femme s'assurent que tout se déroule sans accroc. Malheureusement, les vampires profitent de l'occasion pour se jeter sur la ville en défense pour la saigner à blanc. Les habitants pourront-ils survivre ?

C'est ainsi que débute l'univers de Steve Niles. Le lecteur est confronté à l'horreur ainsi qu'au sentiment de panique et d'impuissance des personnages. On retrouve également beaucoup de références aux genres vampires. Les dessins de Templesmith accompagnent parfaitement le récit en appuyant sur l'horreur tout en piégeant les personnages et le lecteur. Le reste du récit est plus classique et varie les points de vue afin de développer l'univers principalement du côté vampire. Celui-ci apparaît comme une société complexe proposant ses propres règles de vie ainsi qu'une relation assez haineuse envers les humains.

Une adaptation produite par Sam Raimi.

Sorti en 2007, le film de David Slade et mettant en vedette Josh Hartnett est globalement reconnu comme une bonne adaptation et a plutôt plu aux amateurs d'horreur. On retrouve l'ambiance du comics ainsi que sa palette de couleurs mélangeant, le noir, le gris et le rouge.

Malheureusement, la suite intitulée 30 jours de nuit : Sombres en 2010 ne réussit pas le même exploit, la faute principalement à son budget et sa réalisation.

Le Blind Test

On finit l'émission avec un nouveau Blind Test concocté par James. Il nous propose de trouver des titres de films de mauvais films de vampires d'après leur bande-annonce.

Dites-nous en commentaire votre score et votre film de vampire préféré.

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